FORUMS FRATERNELS




 
 

-55%
Le deal à ne pas rater :
Coffret d’outils – STANLEY – STMT0-74101 – 38 pièces – ...
21.99 € 49.04 €
Voir le deal

Partagez

Carnet de voyage d'un vagabond.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
Invité

Anonymous


Invité




Carnet de voyage d'un vagabond. Empty
MessageSujet: Carnet de voyage d'un vagabond. Carnet de voyage d'un vagabond. EmptyLun 30 Juil - 18:24


Prénom & Nom

Nom :
Prénom : Claude
Âge : 26 Ans
Sexe : Masculin
Race : Hylien
Clan : Aucun
Métier : Mercenaire, chasseur de primes
Croyance : Aucune




Bonjour,


… Je ne sais pas par où commencer. Déjà dire « Bonjour » à son journal ne me semble pas un bon début. Je n’ai pas à dire « Bonjour » à un livre. A une personne normale oui, mais là…


Je viens de laisser une page blanche.


Je ne sais pas quoi dire... Ah, si.

Je me suis mis pour objectif récemment de retranscrire toutes mes émotions et mes faits et gestes dans ce petit carnet marron aux pages jaunis par le temps. Ce vieux carnet qui appartenait à mon père. C’est pour mes mémoires, et pour m’occuper. Je n’ai personne à qui parler, de toute façon, avec la situation actuelle…

Introduction : Ma famille.

J’aime bien faire des parties, ça fait structuré et ordonné, et puis c’est plus facile pour s’y retrouver.
Je suis le fils d’un homme aux bras puissants qui se nommait Claudius, ma mère, elle, s’appelait Agnita, et ma sœur Morgane. Tous sont morts.
Je ne me souviens plus de mon nom de famille. C’est comme s’il avait été effacé de ma mémoire.
Sans doute parce que je porte le lourd poids de mon passé, et malheureusement comme beaucoup d’autres je suppose…
Mon père était très brun, très grand et très carré. Il avait une grosse moustache touffue, avec laquelle il se frottait contre ma joue quand j’étais petit. J’aimais beaucoup ça.
Son caractère d’acier m’a permit de devenir très rapidement un homme indépendant sachant garder son sang-froid.
Ma mère possédait de magnifiques cheveux, de douces boucles brunes qui s’emmêlait de façon mélodieuse. C’était une dame magnifique. Elle fabriquait des tapis pour des familles bourgeoises. C’est elle qui m’a apprit l’escrime.
Et Morgane, ma sœur était celle avec laquelle je passais le plus de temps quand j’étais petit. Nous jouions souvent à nous surpasser, l’un et l’autre, dans des épreuves et des jeux que nous inventions nous-mêmes. Nous nous adorions.

Ma famille a été massacrée par une bande de rebelles fous de rages, et j’ai moi-même été traqué par d’autres malades tuant pour une autre cause. Depuis, j’erre dans le pays en évitant de me faire éventrer par je ne sais quelle troupe de dingues qui s’entre-tue pour telle ou telle révolution bidon.
Je sais très bien que ce royaume est en perdition et que ses habitants tentent vainement de s’y retrouver dans le sang, c’est tellement pathétique que je préfère me tenir éloigné de toute population, à croire que ce danger omniprésent à finit par me rendre misanthrope.
Mais je m’égare.



Moi.

Ce titre me semble pour moi être le summum de l’égocentrisme.
Vu que j’en suis au début de ce carnet, autant présenter celui qui l’écrit.
Je ne tiens pourtant pas à publier ça… Mais bon, c’est pour la forme on va dire.

J’ai les cheveux bruns, toujours en batailles. (J’ai rarement le temps de me coiffer quand je vadrouille dans la nature).
Je suis fier de mes yeux gris. Ma mère me disait que j'étais le seul de la famille a en avoir, et que cela était un bon présage.
En revanche ma sœur me disait que cela me donnait un regard vitreux... pour me taquiner (j'espère).
J’ai une petite barbe, et de gros sourcils qui me donnent un air viril et aussi agressif quand je les fronce.
C’est toujours utile parfois, pour effrayer ceux qui font des petites frappes.
J’ai la chance d’être doté d’une puissante musculature (comme celle de mon père) qui me permet de faire de nombreuses tâches physiques. Je l’ai perfectionnée en m’entraînant avec mon père et ma sœur.
L’escrime m’a permit d’élancer ma carrure et l’héritage des traits de ma mère m’a donné un corps et un visage fin par rapport à ce que je devrais être quand je vois d’autres gens de la même corpulence que moi.
Du coup je suis assez content de pouvoir manier de lourdes épées avec la vitesse et l’agilité des bretteurs utilisant le fleuret. Mais évidemment, ce n’est pas facile de savoir concilier les deux. Les épées à deux mains ne sont pas faites pour donner des coups d’estoc rapide, de même que les rapières s’utilisent rarement pour décapiter les gens.




Mon métier.

Voila que je commence à faire des figures de styles.
Je n’ai pas vraiment de métier, vu que je suis chasseur de primes.
Je fais également mercenaire à mes heures perdues, mais j’aime moins car on doit parfois escorter de parfaits enfoirés à qui on ne doit rien reprocher sous prétexte qu'ils constituent notre paye.
Mais ça à parfois du bon.
Comme j’aime bien voyager, je suis toujours habillé en tenue de voyage.
Alors forcément on me regarde souvent de travers quant je passe dans la rue, parmi les rares villages qui arrivent encore à maintenir un semblant d’ordre…
J’ai souvent été prit –à tort- pour un bandit de grand chemin. Mais comme après je sauve des vies, on me laisse tranquille.
J’aime beaucoup le marron. C’est une couleur discrète dans la forêt comme dans les milieux montagneux, et ce n’est pas trop salissant.
Donc je porte un grand pantalon de voyage épais et surtout très résistant et de grosses bottes de marches qui servent accessoirement à casser des tibias quand on me cherche des noises.
J’ai une tunique sombre –mais marron- qui est ouverte en grands, recouvertes par deux épaisses ceintures de cuir, croisées sur mon torse.
Dessous se laisse voir un habit bien rouge. Je trouve ça très joli sans que ce soit tape-à-l’œil. Ce qui est parfait. Rien n’est bon dans l’envie d’attirer l’attention, surtout pour les gens qui ont beaucoup de voyage à faire.
Mes deux gants sont juste assez souples pour me permettre de tenir une arme sans m'égratigner les mains et juste assez résistants pour ne pas s'âbimer trop vite.
Et puis, comme mes bottes, c'est utile pour pouvoir donner de bons coups sans se faire mal.
Celui que je porte à la main gauche est plus solide, alors que l'autre est une mitaine.
C'est parce que je manie le plus souvent ma lame du côté gauche, et ma mère me disait qu'un gant comme celui que j'ai me permettrait d'assurer une bonne maîtrise de mon arme sans me flinguer la main.
Mais bon, je n'y fais pas très attention. Je suis ambidextre.
Je porte une énorme protection en métal sur mon épaule droite, c’est très pratique pour se protéger tout en fonçant, et ça permet d’avoir les mains libres pour tenir une grosse épée.
A propos d’épée, la mienne est faite de bric et de broc.
Enfin, je dis ça, mais pas vraiment. En fait, j’utilisais une lame forgée par mon père quand j’étais plus petit, et lors d’un combat particulièrement sanglant (à savoir contre l’un de ceux qui étaient responsables de la mort de ma famille), j’ai cassé le manche. Je m’en suis donc procuré un autre, que j’ai rafistolé avec la lame toujours intacte de mon père, parce qu’elle est de superbe qualité.
Et puis le fer, le métal, tout ça… Ça me connait.



Ma tête.

Deuxième partie du trip narcissique.
Comme je l’ai dis dans les pages précédentes, je suis pas vraiment dans le genre à me laisser abattre.
Et puis j’ai aussi eu l’esprit fin de ma mère, j’ai été gâté.
Merci Papa, Merci Maman…
Je m’estime comme quelqu’un de plutôt malin, par rapport à la moyenne du commun des mortels que j’ai eu à rencontrer.
Mais je reste toujours autant sidéré par les valeurs parfois mises en avant par certains guerriers ou castes, on a vraiment pas tous la même vision des choses.
L’honneur… La bravoure… Tout ça.
Sauver sa peau par les temps qui courent est déjà extrêmement difficile. Alors s'arranger pour sauver la veuve et l'orphelin en bombant le torse, très peu pour moi.
Cela dit, j’aime quand même le travail bien fait.
Ayant été marqué par ce qui m’est arrivé par le passé (ma famille, la chute de tous les royaumes, l'écroulement des déesses, tout ça tout ça), j’affiche toujours un air blasé et mystérieux.
Blasé pour avoir l’air de rien et ne pas me faire remarquer, et mystérieux pour dire que je ne suis que de passage et que je ne compte pas m’attarder, et qu’il est donc inutile d’essayer de faire connaissance. Pour boire une bière, à la limite.
Tiens, l’alcool, visiblement j’y suis immunisé. Je n’ai jamais eu de gueule de bois, et pourtant j’en ai vidé des tonneaux.
Mais comme je ne veux pas attirer l’attention, je ne m’attarde jamais dans les tavernes.
C’est l’endroit idéal pour se faire entourlouper et dépouillé.
Je n’aime pas beaucoup la compagnie des gens, ni des femmes.
Non pas que je ne les aime pas, mais disons que je n’arrive pas à m’amuser depuis que j'ai réalisé à quel point le monde dans lequel je vis est pourrit jusqu’à l’os, corrompu jusqu'à la moelle par toute cette violence et cette misère.
A croire que je suis dépressif.
Mes véritables plaisirs dans la vie sont visiter des régions inconnues, voir des beaux paysages, faire des périlleuses missions pleines d’adrénaline et boire de la bière.
Mais j’ai déjà aimé. Le problème est que je ne reste jamais en place, du coup, c’est rarement plus l’affaire d’une semaine. Le plus souvent, ce n’est que d’une nuit. Puis je repars… Dans les plaines herbeuses ou les paysages rocailleux, sans vraiment penser que, parfois, celles qui s’attachent trop sont mortes d’inquiétudes.
Tout simplement parce que je m’en fous. Y a pas de petit profits, y a même plus de règles, de toutes façons.
Je n’ai plus le temps pour le chagrin.
Alors j’avance.



Je suis seul. Désespérément seul.
… Pourquoi je me plains alors que trois lignes plus haut je dis que je ne veux pas de relations longues, stables et durables ? La vie de famille, très peu pour moi.
C’est comme quand je pars à l’aventure, pas de compagnons, pas de risques.
On ne peut plus se fier à personne, dans ce royaume maudit.


Mes capacités.

Les seules raisons pour lesquelles je suis toujours vivant.
Je sais me battre, je sais tuer de sang-froid, je sais faire preuve de prudence, je sais démasquer les pièges, je sais écrire malgré mon peu de temps passé à étudier, et je sais faire preuve de malice quand il le faut.
Ce sont des choses capitales quand on est aventurier.
Je sais coudre, laver, plier mes affaires correctement, préparer des repas simples et même faire du café en pleine cambrousse, poser des collets, faire de la fumée et du feu… Et pleins d’autres trucs utiles pour une survie efficace et pas trop inconfortable.

Mais j’ai un talent que peu, voir personne d’autre, possède.
Je réagis au métal. Je le sens. Je le connais et il me connait. Je sais l’utiliser à ma guise.
Je ne sais pas comment j’ai eu ce don, mais force est de constater qu’il est en moi.
Je peux le faire plier à ma volonté, lui donner les formes que je désire.
C’est pour ça qu’une grosse épaulette et une épée en métal, c’est toujours utile.
Ca me permet de chasser facilement, de me protéger, et de faires pleins d’autres choses chouettes.
Au début, je pensais maîtriser la télékinésie, mais ça c’est vite révélé faux.
Pourtant, je peux faire voler le métal et le modeler comme je veux.
D’ailleurs, quand j’y pense, c’est quand j’ai appris que je savais manier l’acier que ma famille a été tuée. Peut-être que les rebelles fous pensaient que c’était dangereux que j’ai ce don. Peut-être.

C’est tout pour cette première note. J’ai visiblement beaucoup écrit, il fait presque nuit dehors.








Là, je suis censé dire que je range mes affaires et que je m’en vais, mais je ne peux pas puisque j’écris…


On dit que derrière chaque personnage de forum, il y a une personne derrière l’écran qui a pour charge de l’incarner.
Pour le personnage de Claude, l’homme qui le joue est un grand fan d’écriture, de dessins, de crêpes et de gaufres.
Il est fin mais bien moins robuste que son avatar, car c’est dur de partir à l’aventure quand on doit faire ses études.
Il a un chat à la maison, qui est marron et qui est très mignon.

Le type aime également parler de lui à la troisième personne quand il doit remplir la partie de sa fiche d’inscription où il doit ce mentionner, parce que ça fait cool bien qu’un peu snob.
Il tient aussi à préciser qu’il n’a pas vraiment l’âge de son personnage, ni l’esprit taciturne de celui-ci.
Parce que quand on aime les gaufres, on aime rire.


Le type tient quand même à préciser qu’il utilisera l’épée de Claude si qui que se soit essaierait de faire une remarque désobligeante sur sa façon détournée de ce présenter…

Ce formulaire a été réalisé par Brindillee de Never Utopia pour Zelda - Cursed Kingdom. Aucune copie partielle ou complète ne sera tolérée.


Dernière édition par Claude le Jeu 23 Aoû - 18:23, édité 1 fois
Eddard Miondir

Eddard Miondir






Sexe : Masculin
Messages : 396
Age : 24
Humeur : Ironique
Date d'inscription : 18/06/2012
Nom : Miondir
Prénom : Eddard
Âge : 21 ans
Sexe : Masculin
Race : Célesbourgeois
Capacité(s) : Fusion céleste - Bras de feu
Croyance : La déesse de l'Espoir, Aryuua
Camp : Neutre
Métier : Errant, il s'était fixé pour but de tuer son père, mais depuis qu'il a réussi...
Lieu de résidence : Il est nomade en quelque sorte...
Liens : Selenda Liadrin : une jeune nymphe qu'il a rencontré dans la forêt et qui l'attire de plus en plus...
Équipement : Une épée, 10 dagues de lancer ainsi que quelques potions et herbes médicinales.
Autres comptes : Arion l'Assassin
Carnet de voyage d'un vagabond. Empty
MessageSujet: Re: Carnet de voyage d'un vagabond. Carnet de voyage d'un vagabond. EmptyLun 30 Juil - 19:47
J'appose mon sceau de validation, bon RP ^^ Et désolé si le formulaire change, je me chargerai de modifier ta fiche mais je ne toucherai pas à ton texte.
http://zelda.jdrforum.com/t135-carnet-de-bord-d-eddard-miondir http://zelda.jdrforum.com/t36-eddard-miondir-un-celesbourgeois-special http://zelda.jdrforum.com

Carnet de voyage d'un vagabond.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut
Page 1 sur 1

Sujets similaires

-
» Carnet de bord d'Eddard Miondir
» Carnet de bord de Nyro Zalyndra