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[Solo] Que pourrais-je m'acheter avec 10 000 rubis ?

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Beatrice

Beatrice






Sexe : Féminin
Messages : 5
Localisation : En Hyrule, malheureusement pour vous ...
Humeur : Sanglante
Date d'inscription : 02/10/2012
Nom : La Sorcière d'or
Prénom : Beatrice
Âge : Inconnu
Sexe : Féminin
Race : Créature du Crépuscule
Capacité(s) : Vainc les plus faibles qu'elle
Croyance : Elle même
Camp : Mal
Métier : Profite des autres
Lieu de résidence : Elle réside dans un petit village
Liens : Aucuns
Équipement : Aucuns à part ses vêtements
Autres comptes : ---
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MessageSujet: [Solo] Que pourrais-je m'acheter avec 10 000 rubis ? [Solo] Que pourrais-je m'acheter avec 10 000 rubis ? EmptyDim 7 Oct - 10:32
Beatrice dormait, allongée dans son lit et enfermée dans ses draps, tentant d'échapper à la fraîcheur de la nuit. Beatrice dormait, mais elle ne rêvait pas. Elle en était incapable, le noir était la seule chose qu'elle était capable de voir lorsque elle fermait les yeux. Un noir, vide et profond, aussi noir et triste que son souvenir du monde du crépuscule.

Elle ouvrit les yeux aussi fatiguée qu'avant qu'elle ne dorme, un sommeil aussi vide n'était pas réparateur, encore moins apaisant. Ce noir était même effrayant, oppressant. Mais Beatrice s'y était habitué et elle trouvait que ses rêves reflétaient bien se qu'elle ressentait au fond d'elle.

"Alors, bien dormi ?"

Une voix sorti Beatrice de ses pensée, une voix qui se voulait rassurante et charmeuse. Beatrice la trouvait ridiculement tremblante et minable. Elle se retourna vers l'homme pathétique chez qui elle avait passé la nuit. Il était aussi vieux et laid que dans son souvenir, mais il avait de l'argent. Il s'assit de toute sa masse graisseuse à côté de Beatrice sur le lit aux draps rouges qu'il lui avait prêté pour qu'elle puisse dormir. A côté de lui, Beatrice semblait immense, elle ne pouvait qu’apercevoir le haut de son crâne dégarni où siégeaient trois cheveux qui faisaient la fierté du vieil homme.

"Oui, enfin comme d'habitude, dit-elle faiblement.
- Comme d'habitude ? Ça veux dire que s'était bon ou mauvais ?
- Plutôt mauvais, répondit-elle, mais on s'habitue.
- Peut-être te manque-t-il quelque chose, comme la présence d'un homme
Beatrice se retourna vers lui, d'un air faussement choqué les sourcils froncés.
- Excuse moi, je ne voulais pas t'offusquer, ne voyant pas de réponse il poursuivi, je comprend qu'une fille avec autant de classe que toi ai besoin de temps. "


Beatrice sourit intérieurement, quel idiot. Elle avait de la chance, elle était tombé sur un vrai pigeon, il la prenait pour une sainte-ni-touche et croyait que la patience suffirait; Au moins, celui là, elle n'aurai pas besoin de l'embrasser pour toucher à sa fortune.

L'homme sortit de la chambre que Beatrice occupait. Elle pu enfin observer cette jolie salle. La moquette au sol était rouge, les murs de pierre avaient été peint en rouge et en dorés. Beatrice vit un cadre accroché, représentant l'homme, un peu plus jeune, en compagnie d'une jolie femme un peu plus jeune que lui. Peut être qu'elle avait été la femme de cet homme et que cette pièce avait été sa chambre. En tout cas, Beatrice trouva qu'elle avait beaucoup de goût au niveau des couleurs. Elle ouvrit un des nombreux placard qui se trouvaient à proximité de la photo, elle y découvrit une robe qui lui accrocha les yeux. Elle était longue, large au bout, comme les robes des princesses d'autrefois. Elle était rouge et portait plusieurs teintes de cette magnifique couleur. La robe était décorée dans toute sa longueur de dorures au courbes magnifiques; Beatrice n'hésita pas et l'enfila. Elle se remit à visiter sa chambre.

Alors, elle tomba sur un autre cadre. Le même homme, un peu plus vieux, était en compagnie d'une autre fille, quelques pas plus tard elle en découvrit un autre, auquel succéda un troisième. Beatrice en décompta une grosse dizaine, sur les dernières peintures, les fille semblaient être adolescente à côté du papi qui les accompagnaient, le même homme que celui que Beatrice avait rencontré la veille au soir en rentrant dans le village. Beatrice ne mit pas longtemps à faire le lien. Elle comprit que cet homme recherchait des filles plus jeunes et que celles ci disparaissait toujours après pour être remplacée par une autre. Dieu sait ce que cet homme pouvait faire à ces filles qu'il emmenait chez lui.

Beatrice fut prise d'un vent de panique, mais réussi à se contrôler. Elle avait déjà connu pire, mais toutes ces informations d'un seul coup faisait un choc. Elle alla calmement devant la porte et tenta de l'ouvrir. C'est sans surprise qu'elle découvrit qu'elle était verrouillée. Alors, sans s'affoler, Beatrice retourna sur son lit, s'assit et attendit l'homme.

Ce dernier entra dans la chambre et découvrit une Beatrice pomponnée, habillé de cette magnifique robe qu'elle avait trouvé, et elle arborait un magnifique collier d'or qu'elle avait trouvé trouvé dans la chambre. En la voyant ainsi, L'homme ne devina pas qu'elle savait tout et qu'elle lui réservait une surprise. Beatrice dit alors :

"Je vous attendais, qu'allons nous faire maintenant ?
- Oh, tu est très belle. J'ai eu l'idée d'appeler un peintre pour qu'il fasse un portrait de nous deux sur la sofa du salon.

Beatrice esquissa un sourire, qui plu à l'homme, avant d'éclater de rire.
- Un cadre ? Quelle bêtise ! Je ne veux pas me faire peindre pour rejoindre votre petite collection de tableaux !
- Je euh, l'homme était très surpris, je ne vois pas de quoi tu veux parler.
- Ah bon ? Alors c'est ça ton petit jeu à toi ? C'est de conquérir le plus de fille possible pour les peindre avant de ...
- Sottises ! Tu ne ...
- Tais-toi ! l'interrompit Beatrice, ton jeu est ennuyant, surtout pour moi. Et je déteste m'ennuyer, je déteste ça au plus au point ! Alors pourquoi ne pas jouer à MON jeu ?"


Sur ces mots Beatrice éclata de rire, un rire terrifiant, un rire démoniaque. Le rire de la sorcière. Et, sans qu'il ne puisse rien faire, l'homme fut projeté dans un tout autre monde. Il eu comme une perte de conscience pour se réveiller dans un étrange cadre. Pas si étrange parce qu'il connaissait le lieu où il se trouvait. Il s'agissait de la chambre rouge, la chambre qu'il avait lui même baptisé "la chambre des victimes". Mais, elle était un peu différente. tout était représenté à l'identique, excepté les murs. Ceux-ci étaient remplis de mots écrit dans ce que l'homme se persuada d'être une peinture rouge. Mais c'était bien dans du sang que les messages étaient écrits. L'homme réussit à lire "meurtrier" et "violeur", ce qui lui glaça le sang. Il ne comprenait pas où est-ce qu'il était, ce qu'il faisait dans cette chambre rouge mal éclairée mais surtout pourquoi ces messages étaient apparus aux murs.

" Es-tu prêt pour jouer ? Pas de réponses ? Je prend ça pour un oui. Alors commençons ...
Alors laisse moi te présenter les règles. Des adversaires tu affronteras, si tu tues tu vivra, si tu perds tu mourra."


L'homme entendais la voix de Beatrice retentir dans sa tête, il ne savais pas comment celle-ci avait fait pour le contacter, ni de quoi elle parlait. Il avait tout de même saisi qu'il allait jouer à un jeu où il devrait affronter quelqu'un. Alors, des bruits provenant de l’intérieur des armoires retentirent. Des coups furent portés sur les portes et l'homme sentit son coeur arrêter de battre. Il avait peur, terriblement peur. Les portes cédèrent. Dix créatures immondes aux traits féminins apparurent. L'homme les reconnu tout de suite. Il s'agissait de ses victimes. Comment avaient-elles pu survivre ? Que faisait-elles ici ? Alors il entendit une nouvelle fois Beatrice chantonner, il réussi à en saisir quelques mots.

"Tu les as tué une fois, elle veulent se venger. Réussira tu une nouvelle fois, à nouveau les tromper. Si tu n'y parvient pas, c'est toi qui trépassera."

Il n'avait pas saisi le sens de ces mots, il était bien trop effrayé. Les jeunes filles se ruèrent sur lui et se mirent à le frapper. L'homme ressentit la douleur jusque au plus profond de son corps. Elles étaient en train de le tuer, il n'osa pas se retourner lorsque il sentit des dents lui rentrer dans la jambe. Tout son corps fut bientôt aux proies des crocs de ses victimes qui le mangeait. La douleur était extrême, il pleurait, criait autant qu'il le pouvait. Un bruit résonnai dans sa tête, un bruit insupportable, le dernier bruit qu'il entendit avant de mourir tué par ses propres victimes, une femme riait, non, Beatrice riait.

Beatrice revint à son état normal juste une minute après avoir pénétré l'esprit de l'homme. Celui-ci gisait sur le sol, mort, son esprit avait été tué, et son corps restait, sans vie. Beatrice se releva aussi amusée que frustrée. Il n'avait opposé aucune résistance, mais bon, au moins elle avait pu s'amuser pendant quelques instants.

Beatrice ressorti de la maison dans sa nouvelle robe, elle était triste de ne pas avoir pu plus profiter de la fortune de l'homme. Et, après les sensations qu'elle avait vécu, elle aurait du mal de s'établir chez un nouvel homme avant quelque temps. Elle songea à un moyen, autre que la prostitution, de gagner de l'argent par elle même. Elle y songea tout le reste de la journée, lorsque, en sortant d'une taverne où elle avait bien mangé, elle tomba sur une affichette qui proposait 10 000 rubis contre la vie d'un étrange monstre. 10 000 rubis, ça lui permettrai de vivre un moment par elle même.

Beatrice se mit en route vers le lieu indiqué sur l'affiche.
http://zelda.jdrforum.com/t136-beatrice-la-sorciere-d-or

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